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Actualités

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Posez votre candidature aux Prix Chisholm de l’innovation en foresterie

20 février 2023

Organisés par l’Association des produits forestiers du Canada, les Prix Chisholm de l'innovation en foresterie sont remis aux lauréats d’un concours national destiné aux jeunes chercheuses et chercheurs qui se passionnent pour un éventail d'activités liées à la science forestière, aux produits utilisant des matières premières de la forêt, à l'amélioration des procédés ou à d'autres innovations le long de la chaîne de valeur du secteur forestier.

Ces prix ne visent pas seulement à récompenser la recherche et le développement, mais aussi à mettre en valeur le travail de la relève étudiante et en recherche qui s’intéressent à la foresterie et aux produits forestiers respectueux du climat, à la fabrication propre et à la bioéconomie forestière.

Les récipiendaires seront célébrés le 8 mai 2023, recevront un prix en espèces de 2 500 dollars canadiens et bénéficieront d'une promotion médiatique locale, régionale et nationale.

Les personnes posant leur candidature doivent être des étudiantes ou étudiants ou des chercheuses ou chercheurs âgés de 30 ans ou moins au 7 avril 2023. Ils doivent mener des projets de recherche et d'innovation dans le domaine de la foresterie, des produits forestiers et/ou des technologies de transformation des produits forestiers - avec des liens avec des universités, des centres de recherche publics ou privés et/ou des départements de recherche et d'innovation d'entreprises.

Thème 2023 : Promouvoir la décarbonisation dans le secteur des produits forestiers grâce à l’innovation dans la chaîne de valeur.

Pour plus d’information et pour poser votre candidature

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« Allez vers l'étudiant étranger, qu'il soit Noir, Français, Arabe… On a besoin d'amour! »

20 février 2023

Ils viennent du Congo, du Bénin, du Cameroun, de la Côte d'Ivoire et d'Haïti. Ils étudient, font de la recherche ou enseignent à l'Université Laval. Cinq membres de la communauté noire ont été réunis par la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique (FFGG) pour partager leur histoire, le 16 février, à midi. Des parcours remplis de rêves, de persévérance, mais aussi jalonnés de défis, dont celui de s'intégrer quand on est loin des siens. D'où cet appel du cœur de Sena Pricette Dovonou-Vinagbe: «Allez vers l'étudiant étranger, qu'il soit Noir, Français, Arabe… On a besoin d'amour!»

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Le jumeau numérique, une image qui promet un grand virage

17 février 2023

Et si l'expression «si nous avions su» devenait moins usitée dans les prochaines années? C'est peut-être ce que produira l'usage accru des jumeaux numériques. Ces répliques virtuelles d'objet, de lieu ou de système physique permettent de prédire comment se comportera une machine dans des conditions données ou de prévoir les conséquences d'une catastrophe naturelle sur un environnement bâti.

«Parfois, je prends cette image pour simplifier la chose: le jumeau numérique permet d'éviter qu'on sorte la pelle, la pioche et les millions de dollars et d'attendre 20 ans pour voir si un projet tient ses promesses. Grâce aux capacités informatiques actuelles, il est possible de simuler et d'appréhender des phénomènes environnementaux et socioéconomiques complexes au sein d'un jumeau numérique. On peut alors tester différentes hypothèses, différents scénarios ou différentes mesures potentielles de mitigation pour faire face à tel ou tel problème. À partir de là, il est beaucoup plus facile de prendre des décisions éclairées», déclare Thierry Badard, professeur au Département des sciences géomatiques et instigateur d'une série d'ateliers sur les jumeaux numériques.

Le premier de ces ateliers, tenus sur la plateforme Zoom, a d'ailleurs permis à des dizaines de participants du Québec, du Maroc et de l'Europe d'en apprendre plus sur l'histoire et les concepts de base de cette nouvelle technologie.

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Des avalanches de sédiments; Patrick Lajeunesse à l’émission Découverte

06 février 2023

Le dimanche 5 février dernier, Patrick Lajeunesse, professeur au Département de géographie de l’Université Laval, et Alexandre Normandeau, chercheur en géosciences marines à la Commission géologique du Canada, ont eu l’occasion d’expliquer le phénomène des avalanches de sédiments créés dans les canyons sous-marins du Saint-Laurent lors d’un segment de l’émission Découverte, de Radio-Canada.

Visionnez le reportage télé 
 


À propos de la recherche

[…] Alexandre Normandeau, chercheur en géosciences marines à la Commission géologique du Canada, et Patrick Lajeunesse, professeur au Département de géographie de l’Université Laval, ont cartographié depuis 2019 ces canyons de long en large grâce, entre autres, à un robot sous-marin.

« C'est un drone, ni plus ni moins. Il enregistre les données de positionnement, mais prend aussi des mesures de profondeur et des différentes caractéristiques du fond marin. »

— Une citation de Patrick Lajeunesse est professeur au Département de géographie à l’Université Laval

Au fil des ans et des relevés, ils ont observé des déplacements de dépôts massifs de sédiments au fond de ces canyons.

Ils sont associés à des avalanches de sédiments, qu’on appelle des courants de turbidité. Une dynamique semblable à celle des avalanches de neige, mais sous l’eau.

En se déplaçant dans le fond marin, ces masses de sédiments posent un risque pour des infrastructures, dont des câbles de télécommunication.

[…]

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Alexis Achim, récipiendaire d’une subvention Alliance du CRSNG

06 février 2023

Félicitations à Alexis Achim, professeur et vice-doyen à la recherche à la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique, qui a décroché une subvention Alliance du CRSNG pour un projet multidisciplinaire sur la valorisation des filaments de cellulose!

Ce projet vise à soutenir le développement d'applications à base de filaments de cellulose qui seront destinées aux secteurs de l'agriculture, de l'hygiène et de la santé, de la construction et de l'environnement. Trois types de produits visent à être développés via ce projet :

  1. Bioproduits agricoles
  2. Papiers antimicrobiens
  3. Produits en béton

Des analyses du cycle de vie subséquentes permettront à ces nouveaux produits d’être comparés avec des produits conventionnels afin d'évaluer leurs performances environnementales.

Ce projet bénéficiera d’un financement de 746 788$ sur trois ans, dont 60% du montant proviendra de contributions publiques (40% du CRSNG et 20% du CRIBIQ) et 40% du partenaire industriel Kruger inc.

Équipe

Ce projet pourra compter sur la participation d’une équipe multidisciplinaire :

Équipe de recherche :
Alexis Achim (chercheur principal), CRMR, Université Laval
Tatjana Stevanovic, CRMR, Université Laval
Véronic Landry, CRMR, Université Laval
Alain Cloutier, CRMR, Université Laval
Benoît Bissonnette, CRIB, Université Laval
Nabil Amara, Faculté des sciences de l’administration, Université Laval
Julie Jean, FSAA, Université Laval
Annie Levasseur, ÉTS

Équipe de collaborateurs :
Rémy Lambert, FSAA, Université Laval
Sébastien Lange, CCTT Biopterre
Julien Bley, CCTT Innofibre

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Un tourisme plus vert et plus diversifié à Québec

01 février 2023

Un bel l’article du média Le Carrefour de Québec, qui s'est entretenu avec Laurent Bourdeau, professeur au Département de géographie et spécialiste en tourisme sur le sujet du tourisme responsable au Québec.

« La Ville de Québec a toujours été une ville très touristique, mais comme ailleurs dans le monde, le tourisme a été affecté par la pandémie et la lutte contre les changements climatiques. C’est pour cette raison que l’on a pu constater des changements dans l’offre touristique et dans l’approche touristique qui inclut maintenant une réflexion écologique.

Pendant la pandémie, comme les frontières étaient fermées, il y a eu une grosse baisse du tourisme en l’absence des touristes internationaux. Cela a eu un impact positif sur le tourisme qui est devenu plus local, sauf pour des villes comme Québec ou Montréal puisque les touristes viennent principalement de l’international, explique Laurent Bourdeau, professeur au Département de géographie, spécialiste en tourisme, de l’Université Laval.

En effet, les retombées économiques du tourisme ont été moins grandes sans les touristes internationaux puisque ceux-ci dépensent plus que les Québécois. Il y a beaucoup d’entreprises (ex. : restaurants, hôtels, etc.) qui n’ont survécu à la pandémie que grâce aux subventions des gouvernements.

« La pandémie, ça nous a fait réaliser une chose : c’est qu’il y a des entreprises touristiques au Québec qui ont été débordées hors des grands centres urbains. Des régions comme l’Estrie, les Laurentides, la Gaspésie, le Bas-Saint-Laurent, la Côte-Nord, où il y a eu une très forte fréquentation, parfois trop forte. » – Laurent Bourdeau [...]  »

Consulter l’article complet sur Le Carrefour de Québec